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Du nouveau pour l’attribution des labels

Tirant les conclusions de la dernière réunion des organisateurs, la Commission des épreuves a travaillé sur une nouvelle version du cahier des charges des épreuves à label. Nathalie Jouffret, la présidente, en présente les principales évolutions.
 
Lors de la réunion des organisateurs, fin 2021, la Ligue avait mis en place des groupes de travail pour faire évoluer le cahier des charges des épreuves à label. Quel en est le résultat ?
Durant tout le début d’année, nous avons travaillé avec les salariés de la Ligue pour faire évoluer ce cahier des charges. C’est bien une évolution que l’on a proposée et pas une révolution. Nous avons tenu compte, dans la majorité des cas, des remarques des organisateurs.
 
Quelles sont les principales évolutions ?
Nous avons fait évoluer certains droits d’inscriptions, notamment pour les épreuves du Challenge Adultes. Dans le Challenge Jeunes, le Bike & Run a été supprimé, car il est très compliqué à mettre en œuvre avec des changements d’équipes jusqu’au dernier moment. Pour la D3, nous avons un peu allégé les contraintes logistiques et nous mettons à disposition une liste d’animateurs. Cette liste n’est pas contraignante, simplement à titre d’information. C’est finalement le mode d’attribution des labels qui va davantage changer.
 
Selon quels critères ?
Auparavant, la Commission donnait une date butoir autour de mi-novembre pour candidater aux labels, avant l’annonce du calendrier fin novembre. Désormais, les organisateurs pourront candidater tout au long de la saison pour l’année N+1, en fournissant un minimum d’informations sur leur épreuve : les parcours, le programme et la zone de transition. Il y a des liens dans le cahier des charges pour candidater. A partir de là, la commission se réserve le droit de faire une visite technique sur site, et de valider une épreuve n’importe quand dans l’année à partir du moment où le dossier est recevable. Le but étant principalement d’avoir plus de candidats mais surtout mieux répartis sur le territoire, je pense notamment aux Alpes-Maritimes, et pour cela, essayer d’alléger le travail administratif.
 
Au sujet du travail administratif, la Commission des épreuves travaille aussi à l’évolution des dossiers techniques d’organisation (DTO) ?
En effet, nous allons faire en sorte de simplifier ce DTO, car il y a certaines répétitions avec les fiches courses. On proposera une nouvelle version pour la saison 2023.
 
Tout cela pose aussi la question du calendrier, sur lequel tu avais un message à faire passer ?
Oui, la Ligue propose aux organisateurs de se positionner sur un calendrier prévisionnel de l’année à venir, pour que tout le monde ait un maximum de visibilité et pour, quand c’est possible, éviter les conflits de date. J’invite vraiment chacun à jouer le jeu de ce calendrier prévisionnel. Je sais que certains sont tributaires de leur collectivité locale, par exemple, mais au plus on créera d’échanges, au plus on sera en mesure de proposer un calendrier cohérent.